Le Sabre
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Le Sabre
Le but de ce sujet est de discuter sérieusement sur la constitution du sabre. Quel sont les éléments qui le compose ? Quel sont les étapes nécessaires pour le forger ? etc ...
Vous-pourriez agrémenter vos reflexions de schémas ou d'images.
Néanmoins, éviter de faire du copier/coller d'artcile existant. L'interêt étant de débattre,d'apprendre, et de nous consituer de solides connaissances autour du sabre.
Vous-pourriez agrémenter vos reflexions de schémas ou d'images.
Néanmoins, éviter de faire du copier/coller d'artcile existant. L'interêt étant de débattre,d'apprendre, et de nous consituer de solides connaissances autour du sabre.
Re: Le Sabre
Merci l'admin,
Ha : tranchant du sabre opposé au dos de la lame Mune. On peut distnguer Hira mune dos plat; maru mune dos arrondi, iori ou kabu mune en angle (2faces) et le mitsu mune à 3 faces.
Omote désigne la face du katana qui se trouve vers l'extérieur lorsqu'on le porte et ura la face qui est contre notre corps. Ces termes sont donc utilisés de façon inverse à leur utilistion en aikido. Ceci est du au fait qu'ils désignaient à l'origine les faces des tachi qui eux se portaient tranchant vers le sol (le katana est décrit comme un tachi).
Nous avons donc ici des éléments de type plan de symétrie bilatéral, face dorsale et ventrale, pouvons évoquer les extrémités d'un axe antero-postérieur ?
Ha : tranchant du sabre opposé au dos de la lame Mune. On peut distnguer Hira mune dos plat; maru mune dos arrondi, iori ou kabu mune en angle (2faces) et le mitsu mune à 3 faces.
Omote désigne la face du katana qui se trouve vers l'extérieur lorsqu'on le porte et ura la face qui est contre notre corps. Ces termes sont donc utilisés de façon inverse à leur utilistion en aikido. Ceci est du au fait qu'ils désignaient à l'origine les faces des tachi qui eux se portaient tranchant vers le sol (le katana est décrit comme un tachi).
Nous avons donc ici des éléments de type plan de symétrie bilatéral, face dorsale et ventrale, pouvons évoquer les extrémités d'un axe antero-postérieur ?
Ry- Super Bushi
- Nombre de messages : 105
Date d'inscription : 02/02/2006
Re: Le Sabre
L’axe longitudinal de la lame n’a été que suggéré dans les considérations précédentes et je proposais une éventuelle orientation avant-arrière.
Les extrémités de la lame sont la pointe, kissaki, et la soie, nagako (logée dans la poignée, tsuka, du sabre).
Lorsque le sabre est utilisé sorti du fourreau (saya), le kissaki a vocation à être porté vers l’avant, c’est lui qui assurera la perception de l’autre surtout dans un échange de contact de lame (prolongement de nos organes sensoriels) .C’est lui aussi qui éventuellement mordra l’autre. (organes sensoriels+ bouche =tête ?!)
Pour certains, l’ensemble des caractéristiques énoncés pour la lame ne seront pas sans rappeler par analogie les plans d’organisation de nombreux animaux. C’est éventuellement aussi pour cela que le sabre peut être vivant !!!
Au delà du vocabulaire, l’étude des autres caractéristiques des lames permet de retrouver leur origine (forgeron), et retrace l’évolution du sabre et de la forge. Mais cela est une toute autre histoire !
Les extrémités de la lame sont la pointe, kissaki, et la soie, nagako (logée dans la poignée, tsuka, du sabre).
Lorsque le sabre est utilisé sorti du fourreau (saya), le kissaki a vocation à être porté vers l’avant, c’est lui qui assurera la perception de l’autre surtout dans un échange de contact de lame (prolongement de nos organes sensoriels) .C’est lui aussi qui éventuellement mordra l’autre. (organes sensoriels+ bouche =tête ?!)
Pour certains, l’ensemble des caractéristiques énoncés pour la lame ne seront pas sans rappeler par analogie les plans d’organisation de nombreux animaux. C’est éventuellement aussi pour cela que le sabre peut être vivant !!!
Au delà du vocabulaire, l’étude des autres caractéristiques des lames permet de retrouver leur origine (forgeron), et retrace l’évolution du sabre et de la forge. Mais cela est une toute autre histoire !
Ry- Super Bushi
- Nombre de messages : 105
Date d'inscription : 02/02/2006
Re: Le Sabre
plus d'excuse possible et remettre tous ces termes sur son propre matériel.Bravo l'admin.
Ry- Super Bushi
- Nombre de messages : 105
Date d'inscription : 02/02/2006
Re: Le Sabre
Hey, je croyais qu'on ne devait pas faire de copier/coller mais débattre ici.
Bref, par rapport à la séance d'hier, j'ai trouvé cela : http://fr.wikipedia.org/wiki/Katana#Parties_du_katana
Bref, par rapport à la séance d'hier, j'ai trouvé cela : http://fr.wikipedia.org/wiki/Katana#Parties_du_katana
Invité- Invité
Re: Le Sabre
J'ai effectivement fait un copier/coller (désolé Ry de te décevoir), mais celui semblait complet, assez précis et en correlation avec le cours d'hier.
Histoire d'approfondir le sujet, quelqu'un peut il approfondir sur un élément du sabre (le kissaki par exemple ?) ?
Histoire d'approfondir le sujet, quelqu'un peut il approfondir sur un élément du sabre (le kissaki par exemple ?) ?
Dernière édition par le Ven 6 Oct - 15:54, édité 1 fois
Re: Le Sabre
Pour tout retenir entrainez-vous !
http://fr.news.yahoo.com/04102006/202/un-japonais-memorise-100-000-decimales-de-pi-et-pulverise.html
http://fr.news.yahoo.com/04102006/202/un-japonais-memorise-100-000-decimales-de-pi-et-pulverise.html
Ry- Super Bushi
- Nombre de messages : 105
Date d'inscription : 02/02/2006
Re: Le Sabre
Aujourd'hui la courbure du sabre: (zori)
Chaque katana selon son époque et/son style à sa propre courbure de lame.
Principalement, il en existe 3:
koshi-zori: courbure située dans le tiers inférieur de la lame
torii-zori : courbure située dans le centre de la lame
saki-zori: courbure située dans le tiers superieur de lame
2 autres cas particuliers existent:
uchi-zori: courbure inversée (present sur certain Tanto)
mu-zori: sans courbure (la lame est droite).
Et vous, quelle est la courbure de votre iaido/katana ?
Chaque katana selon son époque et/son style à sa propre courbure de lame.
Principalement, il en existe 3:
koshi-zori: courbure située dans le tiers inférieur de la lame
torii-zori : courbure située dans le centre de la lame
saki-zori: courbure située dans le tiers superieur de lame
2 autres cas particuliers existent:
uchi-zori: courbure inversée (present sur certain Tanto)
mu-zori: sans courbure (la lame est droite).
Et vous, quelle est la courbure de votre iaido/katana ?
Re: Le Sabre
Je crois bien que le iaito que Ry me prête a une courbure en torii-zori, mais c'est à vérifier. Cette courbure a-t-elle une grande influence sur la lame, du moins de vue de son équilibrage essentiellement ?
Et de nos jours, quelle courbure est plébiscitée ?
Et de nos jours, quelle courbure est plébiscitée ?
Invité- Invité
Re: Le Sabre
La courbure de type Koshi zori est également appelée BIizen zori (Degore S., Nippon to).
Les courbure se détermine par rapport à la ligne qui va du kissaki au Mune machi, ligne qui donne la longueur Nagasade la lame .La profondeur de la courbure est mesurée par le Sori (distance la plus grande de la ligne Nagasa au Mune). Pour l'étude des lames, à ces mesures peuvent s'en ajouter d'autres :
Largeur de la lame au niveau Mune machi (Moto Haba) au niveau yokote (Saki Haba); épaisseur de la lame au Mune machi (Moto Kasane ), au niveau yokote (Saki Kasane), la longueur Kissaki Nagasa (du Yokote à la pointe).
Concernant les courbures, il ne faut pas oublier celle du Nakago. on définit Nagako Nagasa, longueur Mune Machi-Nagako Jiri et Nagako Sori.
Tous ces éléments participent avec d'autres à l'appréciation du Sugata d'une lame (forme, aspect).
Concernant l'appréciation des courbures, il faut savoir si la lame est Ubu (intacte), suriage (raccourcie), ou Machi okuri (allongement de la nagako en retravaillant le niveau Ha Machi-Mune-machi.
Je remercie ici les auteurs de mes sources et vous donnerai celles-ci quand cette rubrique s'éteindra.
Les courbure se détermine par rapport à la ligne qui va du kissaki au Mune machi, ligne qui donne la longueur Nagasade la lame .La profondeur de la courbure est mesurée par le Sori (distance la plus grande de la ligne Nagasa au Mune). Pour l'étude des lames, à ces mesures peuvent s'en ajouter d'autres :
Largeur de la lame au niveau Mune machi (Moto Haba) au niveau yokote (Saki Haba); épaisseur de la lame au Mune machi (Moto Kasane ), au niveau yokote (Saki Kasane), la longueur Kissaki Nagasa (du Yokote à la pointe).
Concernant les courbures, il ne faut pas oublier celle du Nakago. on définit Nagako Nagasa, longueur Mune Machi-Nagako Jiri et Nagako Sori.
Tous ces éléments participent avec d'autres à l'appréciation du Sugata d'une lame (forme, aspect).
Concernant l'appréciation des courbures, il faut savoir si la lame est Ubu (intacte), suriage (raccourcie), ou Machi okuri (allongement de la nagako en retravaillant le niveau Ha Machi-Mune-machi.
Je remercie ici les auteurs de mes sources et vous donnerai celles-ci quand cette rubrique s'éteindra.
Ry- Super Bushi
- Nombre de messages : 105
Date d'inscription : 02/02/2006
Re: Le Sabre
La tsuba (garde) est pièce métallique du koshirae (ensemble des pièces de monture du sabre). Elle se situe entre le habaki (piéce métallique enserrant la soie à la base de la lame) et la tsuka (poignée). Le nagako ana est l'orifice de la tsuba permettant le passage de la soie (l'ajustement peut parfois être réalisé par rajout de métal dans cet orifice-seki gane-). De chaque côtè de la tsuba, également traversées par la soie, peuvent se trouver des seppas (sorte de rondelles de calage de l'ensemble). La tsuba peut également être percée de part et d'autre du nagako ana de 2 autres orifices (hitsu ana) pour le passage du kozuka (petit couteau) et du kogai (sorte de tige sans tranchant à extrémité non pointu) qui se logent dans la saya.
Les tsubas ont un rôle utilitaire mais également décoratif. Elles peuvent donc être richement décorées à partir de techniques diverses (en creux, évidements, en relief, avec incrustations de métaux précieux...). Comme il existe des écoles de forge des lames, il existe également des écoles pour les fabrications de tsubas.
Si à l'origine, les tsubas étaient de simple de disques de fer, par la suite diverses formes sont apparues : ronde (maru gata), ovale (naga maru gata), quadrilobée (mokko gata), carrée (ho kei), hexagonale ( hashi gaku)...
Les tsubas ont un rôle utilitaire mais également décoratif. Elles peuvent donc être richement décorées à partir de techniques diverses (en creux, évidements, en relief, avec incrustations de métaux précieux...). Comme il existe des écoles de forge des lames, il existe également des écoles pour les fabrications de tsubas.
Si à l'origine, les tsubas étaient de simple de disques de fer, par la suite diverses formes sont apparues : ronde (maru gata), ovale (naga maru gata), quadrilobée (mokko gata), carrée (ho kei), hexagonale ( hashi gaku)...
Ry- Super Bushi
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Date d'inscription : 02/02/2006
Re: Le Sabre
à respirer sous l'eau !
Ry- Super Bushi
- Nombre de messages : 105
Date d'inscription : 02/02/2006
Re: Le Sabre
Ry a écrit:Elle se situe entre le habaki (piéce métallique enserrant la soie à la base de la lame) et la tsuka (poignée).
?!?
Faudra m'expliquer ceci, parce que je veux bien que la tsuka soit entre la tsuba et l'habaki, mais que la tsuba soit entre la tsuka et l'habaki, là je ne vois pas comment...
Invité- Invité
Re: Le Sabre
La fonction première qui est la plus souvent donnée pour les tsubas est la protection des mains d’une part en évitant leur glissement vers la lame et d’autre part en évitant qu’elles soient atteintes par une lame adverse (en particulier glissant sur la lame tenue).
D’autres fonctions peuvent être évoquées :
+ pour une tenue simple et aisée du sabre en évitant toute sortie intempestive du fourreau. En effet, le sabre n’est en général maintenu « mécaniquement » dansla saya que par la fonction« coin » du seul habaki. Pour le port du sabre, la main enserre la saya au niveau kurigata-koi guchi. Lorsque le sabre est porté côté gauche (tranchant vers le haut), le contrôle se fait grâce au pouce gauche posé sur la tsuba quelle que soit le port : sage-tô (bras gauche détendu), tei-tô (sabre au niveau de la ceinture) ou tai-tô (sabre dans le obi). Porté côté droit (tranchant vers le bas), bras détendu (shutsujo) le contrôle se fait par le talon de la main ou le creux du poignet,
+ permettre l’absorption, la dispersion des vibrations, ondes de chocs lors des « chocs » de lames ou lors des coupes (ne pas oublier que l’ensemble des pièces montées sur la lame ne tiennent que par une petite goupille de bambou-mekugi-). Cependant, on notera que les tsubas présentent une grande diversité de forme, il semblerait donc que cette fonction n’ait pas généré une forme plus adaptée qu’une autre pour cette fonction (notons néanmoins qu’un sabre peut être monté avec différents koshirae selon
ses utilisations),
+ permettre un équilibrage particulier du sabre en jouant sur son poids,
+ stratégique par son utilisation dans l’escrime (exemple tsuba zaraï, Go no kumi Tachi de M. Saïto sensei, kata 10 tsuba daoshi –renversement avec la tsuba – de la kashima ryu…)
+ «sociales », avec le reste du koshirae, par son esthétique, la préciosité des matériaux utilisés, le renom de l’artiste fabriquant, elles pouvaient être révélatrices d’un rang social, de la richesse du détenteur mais également, du rang, de la richesse ou de l’importance attachée à une relation par celui qui l’offrait à une autre personne
+ « économique », depuis l’origine marché producteurs-utilisateurs auquel s’adjoindra un marché de collectionneurs
+ « historiques », ses diverses évolutions datées et les motifs de décor peuvent permettent aujourd’hui d’avoir des éléments contribuant à la connaissance de l’art, des techniques, de l’usage des matériaux… dans l’histoire du japon,
+ pour le borgne, elles peuvent servir à cacher l’œil défaillant (voir les BD ou manga : Kogaratsu, le mon au lotus de sang ; Kaze no shô -le livre du vent- ou encore les films baby cart)
+ …
D’autres fonctions peuvent être évoquées :
+ pour une tenue simple et aisée du sabre en évitant toute sortie intempestive du fourreau. En effet, le sabre n’est en général maintenu « mécaniquement » dansla saya que par la fonction« coin » du seul habaki. Pour le port du sabre, la main enserre la saya au niveau kurigata-koi guchi. Lorsque le sabre est porté côté gauche (tranchant vers le haut), le contrôle se fait grâce au pouce gauche posé sur la tsuba quelle que soit le port : sage-tô (bras gauche détendu), tei-tô (sabre au niveau de la ceinture) ou tai-tô (sabre dans le obi). Porté côté droit (tranchant vers le bas), bras détendu (shutsujo) le contrôle se fait par le talon de la main ou le creux du poignet,
+ permettre l’absorption, la dispersion des vibrations, ondes de chocs lors des « chocs » de lames ou lors des coupes (ne pas oublier que l’ensemble des pièces montées sur la lame ne tiennent que par une petite goupille de bambou-mekugi-). Cependant, on notera que les tsubas présentent une grande diversité de forme, il semblerait donc que cette fonction n’ait pas généré une forme plus adaptée qu’une autre pour cette fonction (notons néanmoins qu’un sabre peut être monté avec différents koshirae selon
ses utilisations),
+ permettre un équilibrage particulier du sabre en jouant sur son poids,
+ stratégique par son utilisation dans l’escrime (exemple tsuba zaraï, Go no kumi Tachi de M. Saïto sensei, kata 10 tsuba daoshi –renversement avec la tsuba – de la kashima ryu…)
+ «sociales », avec le reste du koshirae, par son esthétique, la préciosité des matériaux utilisés, le renom de l’artiste fabriquant, elles pouvaient être révélatrices d’un rang social, de la richesse du détenteur mais également, du rang, de la richesse ou de l’importance attachée à une relation par celui qui l’offrait à une autre personne
+ « économique », depuis l’origine marché producteurs-utilisateurs auquel s’adjoindra un marché de collectionneurs
+ « historiques », ses diverses évolutions datées et les motifs de décor peuvent permettent aujourd’hui d’avoir des éléments contribuant à la connaissance de l’art, des techniques, de l’usage des matériaux… dans l’histoire du japon,
+ pour le borgne, elles peuvent servir à cacher l’œil défaillant (voir les BD ou manga : Kogaratsu, le mon au lotus de sang ; Kaze no shô -le livre du vent- ou encore les films baby cart)
+ …
Ry- Super Bushi
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Date d'inscription : 02/02/2006
Re: Le Sabre
Arf, désolé, j'avais confondu habaki et kashira, c'est pour ça que je ne comprenais pas.
Par contre, Ry, vu que ce topic meurt, est-ce qu'on pourrait avoir vos sources, svp ?
Par contre, Ry, vu que ce topic meurt, est-ce qu'on pourrait avoir vos sources, svp ?
Invité- Invité
Re: Le Sabre
HS, la relation des remarques qui suivent n’est pas directe avec le topic (quoi que ?).
Commentaires au mensuel 48 : zen nippon kendo renmei (extrait de documentation du CI).
Je ne connaissais pas le terme keito, il semblerait qu’il soit équivalent à teito ?
J’avais une autre interprétation pour shutsujo mais ? Les initiés au japonais pourraient ils nous éclairer ?
Suis-je le seul à penser que l’utilisation du terme taito pose problème dans ce document ?
Commentaires au mensuel 48 : zen nippon kendo renmei (extrait de documentation du CI).
Je ne connaissais pas le terme keito, il semblerait qu’il soit équivalent à teito ?
J’avais une autre interprétation pour shutsujo mais ? Les initiés au japonais pourraient ils nous éclairer ?
Suis-je le seul à penser que l’utilisation du terme taito pose problème dans ce document ?
Ry- Super Bushi
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Date d'inscription : 02/02/2006
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